L’île-sœur, surnom donné à Moorea, est située à 15 km à l’ouest de Tahiti. Elle est parfaitement visible de la côte ouest de Tahiti Nui, et beaucoup d’ habitants de Moorea font le déplacement quotidien (une demi-heure de bateau) pour travailler sur Tahiti.
L’arrivée se fait au port de Vaiare, niché dans une belle petite baie au pied de Mou’a Puta, la montagne percée.
Dès l’entrée dans la passe de Vaiare, on peut admirer le motu Ahi et la beauté du lagon.
Après Tahiti et Bora Bora, Moorea est la troisième île la plus visitée de la Polynésie Française. Un premier point de vue permet d’avoir un aperçu du lagon, avec les célèbres bungalows sur pilotis, symbole du romantisme des séjours polynésiens. Au loin on aperçoit le ferry qui repart sur Tahiti.
Au PK 6, on arrive dans la baie de Cook, nom donné après le voyage à Moorea du navigateur en 1777. Elle est dominée par le Mont Tohiea (1207 m), le plus haut sommet de l’île.
C’est surement l’un des plus beaux points de vue de Polynésie, et cela mérite bien une petite pause.
Au bout de la baie, une route en terre permet une incursion dans le centre de la caldera.
Puis on retrouve une route goudronnée qui grimpe jusqu’au belvédère (240 m), situé au centre de l’ancien cratère dont le diamètre était de 9 kilomètres. L’endroit est idéal pour contempler le mont Rotui (899 m), la montagne sacrée, séparant les deux baies de Cook et d’Opunohu, longues de plus de 3 kilomètres.
De la baie de Cook, la route longe également le bord de mer en passant au pied du mont Rotui, et le lagon entre les deux baies est magnifique.
Au PK 15, on arrive à une plage public très appréciée des habitants.
Juste avant de découvrir le magnifique panorama qu’offre la baie d’ Opunohu.
Avec le majestueux Mou’a Roa plantée au fond.
Au nord ouest de l’île, on arrive à la pointe de Hauru, l’endroit le plus touristique de l’île.
Les plages et les deux motu sont très convoités par les amateurs de farniente.
En prenant la direction du sud, le paysage devient plus sauvage, puis on arrive dans le village de Haapiti.
On y découvre l’autre facette des montagnes que l’on a pu admirer lors de la visite dans la caldera.
Comme cette vue sur le Mont Tohiea, de la pointe sud de l’île.
De même de Mou’a Roa, dévoilant une autre face.
Cette côte plus sauvage permet également de découvrir les talents de pêcheurs des polynésiens.
La pirogue est le mode de navigation idéal pour pêcher sur le lagon.
Certains choisirons d’autres méthodes, mais le poisson reste l’aliment principale de la cuisine polynésienne.
De retour au PK O, afin de profiter de l’happy hour.
Tout en contemplant la lumière de fin de journée sur Tahiti.
Puis c’est l’heure du dernier ferry, direction le port de Papeete.
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